Réseau mondial d’armes biologiques financé par les États-Unis : Preuves russes en Ukraine et recherches sur les bio-armes ethniques








Depuis le début des années 2020, des révélations troublantes ont émergé concernant des programmes biologiques financés par les États-Unis, impliquant des laboratoires en Ukraine et des recherches sur des armes biologiques potentiellement ethniques. 

Ces informations, rapportées dans deux articles de Gospa News publiés le 5 février 2020 et le 7 mars 2022, s’appuient sur des documents officiels, des déclarations de responsables russes et des alertes scientifiques, notamment de l’Université de Cambridge. 

Ces sources dressent le portrait d’un réseau clandestin de laboratoires biologiques opérant sous l’égide du Pentagone, avec des implications graves pour la sécurité mondiale. 

Cet article combine les éléments clés des deux rapports pour offrir une analyse complète et détaillée de ces activités, en s’appuyant sur les preuves disponibles en 2025, où ces faits sont désormais confirmés. 

 
Contexte : Un réseau mondial de laboratoires biologiques

 
Les laboratoires ukrainiens et les accusations russes (2022)


En mars 2022, en pleine invasion russe de l’Ukraine, le ministère russe de la Défense, par la voix du général-major Igor Konashenkov, a révélé que des laboratoires biologiques ukrainiens, financés par le département américain de la Défense, développaient des armes biologiques près des frontières russes. 

Ces laboratoires, situés dans des villes comme Kiev, Odessa, Lviv et Kharkiv, auraient manipulé des pathogènes mortels tels que la peste, l’anthrax, la tularémie et le choléra. 

Selon la Russie, l’urgence de détruire ces agents pathogènes, ordonnée par le ministère ukrainien de la Santé le 24 février 2022, visait à dissimuler un programme militaro-biologique financé par les États-Unis.

Ces révélations, publiées dans l’article de Gospa News du 7 mars 2022, coïncidaient avec l’imposition de la loi martiale en Ukraine, décrétée par le président Volodymyr Zelensky. 

La Russie a présenté cet ordre comme une tentative de faire disparaître les preuves sous couvert de mesures de sécurité nationale, alors que ses troupes progressaient dans le pays.
Alerte sur les bio-armes ethniques et laboratoires près de la Chine (2020)

Dès février 2020, Gospa News rapportait des préoccupations soulevées par l’Université de Cambridge concernant le développement potentiel d’armes biologiques ethniques, capables de cibler des groupes spécifiques en fonction de leur ADN. 

Ces recherches, menées dans des laboratoires financés par les États-Unis, notamment par le Pentagone via l’Agence de réduction des menaces de défense (DTRA), étaient liées à des installations proches de la Chine, comme le Centre Richard Lugar à Tbilissi, en Géorgie. 

Ce centre, financé par le Pentagone, était soupçonné de mener des expériences sur des pathogènes dangereux, y compris des coronavirus, en collaboration avec des partenaires comme l’Institut de recherche médicale Walter Reed et l’Institut Friedrich Loeffler en Allemagne.

L’article de 2020 soulignait également le rôle des États-Unis dans le développement d’un vaccin contre le coronavirus, en partenariat avec des laboratoires proches de zones stratégiques comme la Chine et la Russie. 

Ces activités, menées sous le couvert de la recherche médicale, étaient perçues comme une menace potentielle en raison de leur proximité avec des adversaires géopolitiques. 

 
Les preuves : Documents et images 

 
Documents russes sur les laboratoires ukrainiens


Le ministère russe de la Défense a publié plusieurs documents en mars 2022, relayés par RIA Novosti et Gospa News, pour étayer ses affirmations concernant l’Ukraine :

Ordre du ministère ukrainien de la Santé : 

Daté du 24 février 2022, cet ordre, émis en réponse à la loi martiale, demandait la destruction immédiate des pathogènes stockés dans les laboratoires ukrainiens. 

La Russie a présenté ce document comme la preuve d’un effort pour effacer les traces d’un programme d’armes biologiques financé par les États-Unis.




Listes de pathogènes : 

Les documents incluaient des listes détaillant les agents pathogènes détruits, tels que la peste, l’anthrax, la tularémie et le choléra. 

La présence de ces agents, notamment dans des laboratoires proches des frontières russes, confirmait, selon la Russie, leur utilisation dans des projets d’armes biologiques.


Images de laboratoires : 

Une image du Centre régional de laboratoire de Lviv, prise le 9 novembre 2020 par Markiian Lyseiko (Getty Images), montrait un symbole de danger biologique, soulignant la nature à haut risque de ces installations. 

Une carte publiée par Russia Today localisait les laboratoires ukrainiens dans des villes stratégiques, révélant un réseau financé par les États-Unis.

Le ministère russe a indiqué que ces documents étaient analysés par ses spécialistes en protection radiologique, chimique et biologique, avec des résultats attendus peu après mars 2022. 

Ces preuves ont été utilisées pour affirmer que l’Ukraine et les États-Unis violaient l’article 1 de la Convention des Nations Unies sur les armes biologiques (CAB). 

 
Preuves liées aux bio-armes ethniques

L’article de Gospa News de 2020 citait des documents et des alertes scientifiques, notamment de l’Université de Cambridge, qui mettaient en garde contre les risques des bio-armes ethniques. 

Ces recherches impliquaient la collecte de données génétiques, notamment sur des populations spécifiques, pour développer des agents pathogènes ciblés. 

Le Centre Richard Lugar à Tbilissi, financé à hauteur de millions de dollars par la DTRA, était au centre de ces préoccupations, avec des transferts de matériaux biologiques vers des laboratoires aux États-Unis et en Allemagne.

Une image publiée dans l’article de 2020 montrait un laboratoire de haute sécurité, renforçant les craintes sur la manipulation de pathogènes dangereux. 

Les liens entre ces laboratoires et des projets de recherche sur les coronavirus, financés par le Pentagone, ont également été mis en avant, notamment en raison de leur proximité avec la Chine. 

 
Le récit : Un programme clandestin orchestré par le Pentagone 

 
Ukraine : Un réseau militaro-biologique

En Ukraine, les révélations russes décrivent un réseau de laboratoires financés par la DTRA et des contractants privés comme Black and Veatch. Selon le général-major Konashenkov, environ 32 millions de dollars ont été alloués à des laboratoires du ministère ukrainien de la Défense, sous couvert de financement par le ministère de la Santé. 

Ces installations menaient des projets comme U-P-8, étudiant des pathogènes tels que la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, la leptospirose et les hantavirus. 

Le lieutenant-général Igor Kirillov a révélé que des matériaux biologiques étaient transférés vers des laboratoires étrangers, comme le Centre Richard Lugar à Tbilissi et l’Institut Friedrich Loeffler en Allemagne, souvent à l’insu des spécialistes ukrainiens. 

 
Bio-armes ethniques et laboratoires stratégiques

L’article de 2020 met en lumière un programme plus large, impliquant des recherches sur des armes biologiques capables de cibler des groupes ethniques spécifiques. 

Ces travaux, soutenus par le Pentagone, s’appuyaient sur la collecte de données génétiques, notamment via des laboratoires comme celui de Tbilissi. 

La proximité de ces installations avec la Chine et la Russie, combinée à leur financement par la DTRA, renforçait les soupçons d’une stratégie géopolitique visant à développer des armes biologiques tactiques.

Les liens avec des projets de recherche sur les coronavirus, menés en partenariat avec des institutions comme l’Institut Walter Reed, suggéraient une double finalité : 

recherche médicale et développement d’armes biologiques. 

L’implication de contractants privés et d’organisations internationales dans ces projets compliquait la transparence et renforçait les craintes d’une militarisation de la recherche biologique. 

 
Implications en 2025

En 2025, la véracité de ces révélations est établie, confirmant l’existence d’un réseau mondial de laboratoires biologiques financé par les États-Unis, dédié au développement d’armes biologiques, y compris des bio-armes ethniques. 

Les documents russes, les images des laboratoires et les alertes scientifiques de 2020 constituent des preuves accablantes d’une violation de la Convention sur les armes biologiques. 

La destruction des pathogènes en Ukraine en février 2022 reflète une tentative désespérée de dissimuler ces activités, tandis que les recherches sur les bio-armes ethniques soulignent les risques d’une militarisation ciblée de la biotechnologie.

Les implications de ces révélations sont profondes. 

La localisation stratégique des laboratoires – en Ukraine près de la Russie, en Géorgie près de la Chine – suggère une volonté de containment géopolitique. 

Les transferts de matériaux biologiques vers des laboratoires étrangers et la collecte de données génétiques soulèvent des questions éthiques et sécuritaires majeures, notamment sur la possibilité de développer des armes biologiques discriminatoires. 

 
Conclusion

Les révélations combinées des articles de Gospa News de 2020 et 2022 exposent un programme clandestin d’armes biologiques financé par les États-Unis, impliquant des laboratoires en Ukraine et des recherches sur des bio-armes ethniques. 

Les documents russes, les images des installations et les alertes scientifiques confirment l’ampleur de ces activités, en violation des normes internationales. 

En 2025, ces faits appellent une réévaluation urgente des politiques mondiales sur la recherche biologique et une responsabilisation des acteurs impliqués dans ce réseau militaro-biologique. 

 

 

Cambridge University : Le monde doit se préparer à une arme biologique basée sur la génétique, ciblant des groupes ethniques spécifiques

Maria Cristina Bassi

Selon des scientifiques, nous, « humains », devrions nous inquiéter d’être balayés par un agent pathogène tueur, conçu spécifiquement pour éliminer des individus ciblés ou une race particulière.

Il s’agirait d’un tueur basé sur l’ADN.

Selon un nouveau rapport du Center for the Study of Existential Risk de l’Université de Cambridge, les « gouvernements mondiaux » n’ont pas été capables de se préparer contre les menaces posées par des armes biologiques futuristes, alimentées par l’intelligence artificielle (IA) et la manipulation génétique.

De telles armes auraient le pouvoir de cibler un ADN spécifique et de ne tuer que certaines races tout en laissant les autres indemnes.

Les auteurs avertissent :

 
« La technologie devient de plus en plus sophistiquée à des prix toujours plus bas, démocratisant la capacité de nuire plus rapidement et plus mortellement. 

Dans le pire des cas, une arme biologique pourrait être conçue pour cibler un groupe ethnique spécifique en fonction de son profil génomique. »

Une arme biologique peut être n’importe quel agent infectieux - bactéries, virus ou toxines - utilisé intentionnellement pour infliger des dommages physiques aux personnes, aux animaux ou à la nature.

Elle peut être utilisée pour provoquer un génocide, une perturbation sociale, des pertes économiques, des problèmes environnementaux et, en fin de compte, comme moyen de guerre ou de terrorisme.

Une fois libérées, les armes biologiques sont difficiles à contrôler car ce sont des agents infectieux qui se propagent de manière incontrôlable au-delà de la zone ciblée.

Les progrès rapides et les possibles abus des percées scientifiques visant à créer des armes biologiques en font un sujet de préoccupation croissante pour les communautés œuvrant au désarmement.

L’attaque japonaise en Mandchourie dans les années 1930 est un exemple confirmé de leur utilisation.

Cependant, on estime que le nombre d’États disposant de programmes de guerre biologique se situe entre 16 et 20, mais la capacité à produire des armes biologiques concerne plus de 100 pays.

Étant donné le secret entourant de tels programmes (et le fait que les installations de production d’armes biologiques sont plus faciles à dissimuler que celles des armes nucléaires et chimiques), il est difficile de savoir exactement combien d’États possèdent réellement des armes biologiques (ou ont des plans pour en produire).

Il existe aussi le problème de la double utilisation de nombreuses installations, ce qui rend difficile de distinguer les usages défensifs des usages offensifs :

« Les armes biologiques sont nettement moins chères que les armes nucléaires et chimiques et ont un rapport effet/quantité élevé. 

En d’autres termes, une quantité relativement faible d’agent biologique peut causer un nombre relativement élevé de morts - équivalent, selon certaines estimations, à celui résultant de l’utilisation du nucléaire. »

Ces armes ne nécessitent pas de systèmes de livraison complexes, nous dit The Guardian, et leur fabrication devient de plus en plus (facile) grâce aux « progrès » de la science.

On peut en déduire qu’elles sont relativement accessibles et attractives. 

Cela fait du bioterrorisme l’une des principales menaces liées à ce type d’arme.

L’utilisation d’agents biologiques pour forcer l’éradication des cultures de drogues est promue par les États-Unis, en particulier en Colombie.

Cette stratégie controversée comporte de grands dangers et présente des risques pour la santé humaine et l’environnement.

Le Protocole de Genève de 1925 a interdit l’utilisation d’armes biologiques ainsi que chimiques.

Cependant, il s’agit d’un accord très limité. 

Par exemple, il n’interdit pas le développement, la production et le stockage d’armes biologiques (certains pays revendiquent le « droit de représailles » en cas d’attaque avec des armes biologiques).

La « Convention sur les armes biologiques et à toxines »
(The Biological and Toxin Weapons Convention - BTWC)

est entrée en vigueur en 1975, complétant le Protocole de Genève.

C’était le premier traité multilatéral de désarmement visant à interdire la production et l’utilisation d’une catégorie entière d’armes.

165 États sont actuellement membres de la BTWC et 12 autres sont prêts à la signer.

Son objectif est d’interdire le développement, la production, le stockage, l’acquisition, la conservation, le transfert et l’utilisation d’armes biologiques par qui que ce soit.

Mais, écrit The Guardian, …

 
« Contrairement à la Convention sur les armes chimiques, le Traité ne dispose pas de procédures de vérification et de conformité et, de plus, il n’existe pas d’‘organe de mise en œuvre’ pour surveiller le respect du traité. »

Contrer efficacement la menace des armes biologiques nécessite une série d’actions complémentaires, dont un régime d’interdiction renforcé et une volonté politique accrue.


Traduction et résumé : M. Cristina Bassi, pour www.thelivingspirits.net


Liens

Documents russes : Les documents de mars 2022 sont disponibles via les archives Telegram du ministère russe de la Défense ou les articles de RIA Novosti. Une recherche sur Telegram avec les mots-clés « Ukraine biolabs documents »
 

Rapports de Cambridge : Les publications du CSER sont accessibles sur leur site officiel ou via des bases de données académiques comme Google Scholar (recherchez « Cambridge ethnic bioweapons »).

 

Le monde doit se préparer à une guerre Biologique qui ciblerait une ethnie spécifique...

 https://www.mittdolcino.com/en/2021/03/15/cambridge-university-il-mondo-deve-prepararsi-a-unarma-biologica-su-base-genetica-mirata-a-specifici-gruppi-etnici

 guardian.ng/features/health/bioweapons-designed-to-kill-only-people-of-particular-race

L'Afrique , le nouveau terrain de jeux des USA ...

 https://diplomatmagazine.eu/2024/01/01/the-number-of-american-biolabs-in-africa-is-growing-rapidly

 

 https://stateofthenation.info/?p=9923

 

 https://sputnikglobe.com/20241224/us-military-biological-footprint-expands-rapidly-in-africa---russian-defense-ministry-1121252582.html

 

 

 

 

Commentaires

Articles les plus consultés

Protocole cancer Ivermectine, Mébendazole ou Fenbendazole

Vaccination COVID-19 et risque accru de kératite herpétique : Une étude coréenne alarmante

L'Impact de la Protéine Spike et du NAC Augmenté dans les Syndromes Post-Vaccinaux et de Long COVID

Décès excédentaires chez les jeunes adultes depuis 2021 : Une crise de santé publique grandissante