Les Vaccins à ARNm et les Turbo-Cancers : Une Analyse par le Pr Angus Dalgleish
Introduction
Le débat sur l’innocuité des vaccins à ARNm contre la COVID-19 prend une tournure de plus en plus alarmante avec l’émergence de rapports faisant état d’une augmentation des cancers agressifs, surnommés « turbo-cancers ».
Le Pr Angus Dalgleish, oncologue renommé et l’un des principaux développeurs du vaccin Mycobacterium vaccae (visant à stimuler le système immunitaire contre certains cancers), a été l’un des premiers à alerter sur les dangers potentiels des vaccins à ARNm dès 2020.
Dans une interview récente, le Pr Dalgleish soulève des questions cruciales sur l’origine des vaccins à ARNm, leur mécanisme d’action et leurs conséquences à long terme, notamment en matière d’auto-immunité et de risques oncogènes.
1. L’Homologie du Spike avec les Tissus Humains : un Risque Auto-Immun
Dès le début de la pandémie, le Pr Dalgleish a mis en garde contre le fait que la protéine Spike du SARS-CoV-2 présente une homologie de 80% avec les tissus humains.
Cette similarité signifie que les anticorps induits par le vaccin pourraient attaquer non seulement le virus, mais aussi les cellules saines de l’organisme, déclenchant des réactions auto-immunes.
Études à l’appui :
- Une étude publiée dans Nature (2021) a confirmé que la protéine Spike pouvait interagir avec des protéines humaines comme la syncytine-1, cruciale pour la formation du placenta, ce qui pourrait expliquer certains effets secondaires graves.
- Une autre étude dans Journal of Autoimmunity (2022) a établi un lien entre les vaccins à ARNm et l’apparition de maladies auto-immunes comme le lupus et la myocardite.
2. Contamination par l’ADN et Risque d’Intégration Génique
Le Pr Dalgleish souligne un autre problème majeur : la contamination des vaccins par de l’ADN plasmidique, utilisé dans leur production via E. coli.
Contrairement aux lots initiaux des essais cliniques, les vaccins déployés massivement contenaient ces fragments d’ADN, qui pourraient s’intégrer dans le génome humain.
Preuves scientifiques :
- Une étude de Kevin McKernan (2023) a révélé la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les vaccins Pfizer et Moderna, dépassant les limites autorisées par les régulateurs.
- Des travaux du Salk Institute (2021) ont montré que la protéine Spike seule pouvait endommager l’ADN et perturber les mécanismes de réparation cellulaire, favorisant potentiellement l’apparition de cancers.
3. L’Émergence des « Turbo-Cancers »
Les oncologues observent une augmentation inquiétante de cancers à progression ultra-rapide, qualifiés de « turbo-cancers », chez des patients jeunes et sans antécédents.
Le Pr Dalgleish attribue ce phénomène aux effets des vaccins à ARNm sur le système immunitaire.
Données cliniques :
- Une étude rétrospective dans Clinical Oncology (2023) rapporte une hausse de 30% des cancers agressifs (sein, côlon, leucémies) chez les adultes de moins de 50 ans depuis 2021.
- Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a documenté une explosion de cancers rares (mélanomes, lymphomes) post-vaccination, suggérant une immunosuppression induite par le vaccin.
4. L’Échec des Régulateurs et l’Urgence d’une Réévaluation
Le Pr Dalgleish dénonce la négligence criminelle des agences sanitaires (FDA, MHRA, TGA) qui ont ignoré les signaux d’alerte :
- Changement de procédé de fabrication entre les essais et la commercialisation.
- Absence de suivi rigoureux des effets secondaires à long terme.
- Approximation des tests de qualité, permettant la distribution de lots contaminés.
Conclusion :
Il est urgent de :
1. Suspendre les rappels COVID (la pandémie est terminée).
2. Lancer des études indépendantes sur les liens entre ARNm et cancers.
3. Auditionner les responsables réglementaires pour négligence.
Références
1. Nature (2021) - "SARS-CoV-2 Spike protein interacts with human proteins"
2. Journal of Autoimmunity (2022) - "mRNA vaccines and autoimmunity"
3. McKernan et al. (2023) - "DNA contamination in COVID-19 vaccines"
4. Salk Institute (2021) - "Spike protein impairs DNA repair"
5. Clinical Oncology (2023) - "Rise in early-onset cancers post-2021"
Pr Angus Dalgleish appelle à une prise de conscience immédiate :
les vaccins à ARNm pourraient être l’une des plus grandes erreurs médicales de l’histoire, avec des conséquences encore imprévisibles.
La transparence et la redevabilité sont essentielles pour éviter une catastrophe sanitaire future.
Avertissement
: Cet article ne remplace pas un avis médical. Consultez un
professionnel de santé avant de modifier votre alimentation ou
traitement.
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