L’efficacité des vaccins COVID et le phénomène d’immunité négative : une analyse approfondie
Introduction
Le professeur Robert Clancy, immunologiste de renom en Australie, a récemment partagé des données alarmantes sur l’efficacité des vaccins contre la COVID-19.
Contrairement aux promesses initiales, les vaccins pourraient non seulement perdre en efficacité avec le temps, mais aussi augmenter les risques d’hospitalisation.
Ce phénomène, appelé immunité négative, soulève des questions cruciales sur la stratégie vaccinale actuelle.
1. L’immunité négative : un effet paradoxal
Lors des premières campagnes de vaccination en 2021, les vaccins offraient une protection d’environ 80% contre les hospitalisations.
Cependant, des études récentes montrent que cette protection s’est progressivement transformée en un risque accru.
- Données canadiennes (Québec) :
Une étude dirigée par la professeure Sarah Karazza a suivi l’efficacité des vaccins sur 33 semaines. Résultat ?
- Après 2 mois, la protection chute.
- Entre 2 et 8 mois, les personnes vaccinées ont 51% plus de risques d’être hospitalisées que les non-vaccinées.
- Ce phénomène s’aggrave avec les rappels répétés.
- Explication immunologique :
- Le système immunitaire des muqueuses (voies respiratoires) est conçu pour modérer les réponses inflammatoires (contrairement au système sanguin, qui vise à neutraliser les pathogènes).
- Une surstimulation par des vaccins répétés (combinée à une exposition naturelle au virus) entraîne une désensibilisation immunitaire, favorisant les infections plutôt que les bloquant.
2. Pourquoi les vaccins initialement efficaces deviennent contre-productifs ?
Plusieurs facteurs expliquent cette inversion :
A. L’évolution du virus et le décalage vaccinal
- Les variants du SARS-CoV-2 mutent rapidement (ex. : XBB → JN.1 → KP.2).
- Les vaccins sont toujours en retard : ils ciblent un variant déjà disparu.
- Résultat :
une protection inférieure à 50% après quelques mois (alors que l’OMS exige au moins 50% pour justifier un vaccin).
B. La surproduction d’IgG4, un marqueur d’immunosuppression
- Les vaccins à ARNm, en particulier, provoquent une augmentation des anticorps IgG4, associés à une tolérance immunitaire (comme dans les allergies).
- Ces anticorps neutralisent l’action des IgG protectrices, réduisant la défense contre le virus.
- Ce mécanisme était prévisible :
il est observé depuis des décennies avec les vaccins contre la grippe.
C. La dose incontrôlée d’antigènes
- Contrairement aux vaccins traditionnels (dose fixe), l’ARNm se réplique dans les cellules, produisant une quantité imprévisible de protéine Spike.
- Cela peut entraîner une réponse excessive, épuisant le système immunitaire.
3. Les conséquences méconnues des vaccins ARNm
Outre l’immunité négative, le Pr Clancy alerte sur d’autres risques :
A. Maladies auto-immunes et inflammations chroniques
- La protéine Spike persiste dans l’organisme (jusqu’à 4 ans dans les méninges, selon une étude).
- Elle peut déclencher des réactions auto-immunes (thyroïdite, neuropathies, syndromes post-vaccinaux).
B. Risques cancérigènes et anomalies génétiques
- Des contaminations par de l’ADN (plasmides SV40) ont été détectées dans les vaccins.
- L’ARNm pourrait s’intégrer à l’ADN humain via la transcriptase inverse, avec des conséquences inconnues.
C. Démence et protéines amyloïdes
- Les modifications de l’ARNm (pseudo-uridine) provoquent des erreurs de lecture, générant des protéines toxiques (beta-plaquettes) liées à des maladies neurodégénératives.
4. Que faire face à ces révélations ?
1. Exiger des études indépendantes :
Les données doivent être analysées sur le long terme, hors conflits d’intérêts.
2. Arrêter les rappels inutiles :
Les vaccins actuels sont conçus pour un variant disparu.
3. Privilégier l’immunité naturelle :
L’exposition contrôlée au virus (chez les personnes à faible risque) pourrait être plus protectrice.
4. Investiguer les alternatives :
Les vaccins à protéines recombinantes ou à virus inactivés semblent moins problématiques.
Conclusion
Le Pr Clancy résume : "Nous avons créé une population au bord de la tolérance au COVID."
Les vaccins ARNm, initialement utiles, pourraient désormais aggraver la situation.
Cette crise exige une réévaluation urgente des politiques sanitaires, avant que les dommages ne deviennent irréversibles.
Références :
- Étude québécoise (Karazza et al., 2024)
- Données sur l’IgG4 (The Lancet, 2023)
- Risques génétiques (Cambridge Study, 2023)
Pour aller plus loin :
Les travaux du Pr Clancy sont disponibles sur les plateformes scientifiques indépendantes.
Questionnement final : Si les autorités savaient depuis 2022 que les vaccins augmentaient les hospitalisations… pourquoi ont-elles continué à les promouvoir ?
source: https://www.youtube.com/watch?v=ecAenIH7yhY&ab_channel=Dr.JohnCampbell
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