IGG4 : Un phénomène méconnu mais crucial à comprendre sur la vaccination à ARNm
Beaucoup de gens n'ont jamais entendu parler de l'IgG4. Pourtant, c’est un sujet très important à connaître.
À la fin de cet article, vous serez en mesure d’expliquer à vos proches pourquoi il est essentiel de se poser plus de questions à ce sujet.
Pourquoi l'IgG4 est-elle si importante ?
Une leçon essentielle que nous avons apprise pendant la pandémie est qu’il ne faut pas seulement se concentrer sur ce que l’on nous demande de regarder.
Il est tout aussi crucial d’examiner ce dont on ne parle pas. L’IgG4 fait partie de ces sujets passés sous silence, et cela mérite toute notre attention.
Un phénomène inhabituel
Nous n’avions jamais observé ce schéma avec aucun vaccin auparavant. En règle générale, l’IgG4 n’apparaît qu’en réponse à une désensibilisation aux allergies.
Cela signifie que son apparition après la vaccination contre le SARS-CoV-2 est très inhabituelle.
Lorsque ce phénomène est apparu, il a révélé un changement de classe vers des anticorps IgG4 non inflammatoires, spécifiques à la protéine Spike, après des doses répétées du vaccin à ARNm contre le SARS-CoV-2.
Il est important de souligner que cela ne concerne pas tous les vaccins, mais spécifiquement les vaccins à ARNm, en raison de leurs caractéristiques propres.
Comprendre l’IgG4 et son rôle dans l’immunité
L’IgG4 est une classe d’anticorps qui joue un rôle particulier dans le système immunitaire.
Structure et fonction des anticorps
Le système immunitaire produit plusieurs types d’anticorps, notamment :
IgM : première réponse immunitaire.
IgA : présent dans les muqueuses et le sang.
IgE : impliqué dans les réactions allergiques.
IgG : la catégorie la plus abondante et de longue durée.
L’IgG est ensuite divisée en plusieurs sous-classes :
IgG1 et IgG3 : fortement inflammatoires et impliquées dans la réponse immunitaire contre les infections.
IgG2 : moins étudiée et souvent négligée.
IgG4 : considérée comme un anticorps tolérant, qui modère la réponse immunitaire.
Pourquoi l’IgG4 est-elle importante ?
L’IgG4 joue un rôle d’équilibrage dans le système immunitaire. Un bon exemple est celui des apiculteurs. Lorsqu’ils sont exposés à des piqûres d’abeilles de manière répétée, leur système immunitaire s’adapte en réduisant sa réaction grâce à l’IgG4, évitant ainsi une inflammation excessive.
En temps normal, ce mécanisme est bénéfique car il empêche des réactions immunitaires excessives.
L’IgG4 et les vaccins à ARNm : un effet inattendu
L’augmentation massive des niveaux d’IgG4 après la vaccination à ARNm est un phénomène inédit.
Après la deuxième dose, une augmentation significative a été observée.
Après la troisième dose, l’IgG4 a été multipliée par 38, soit une augmentation de près de 4 000 %.
Ce phénomène soulève plusieurs questions :
Pourquoi cela se produit-il ?
Quel impact cela peut-il avoir ?
Est-ce un effet recherché ou un effet secondaire ?
Malheureusement, la communauté scientifique a largement ignoré ces questions cruciales.
Quels pourraient être les effets d’un excès d’IgG4 ?
Lorsque l’IgG4 est trop élevée, elle pourrait :
Rendre le virus plus tolérable pour l’organisme, empêchant une réponse immunitaire efficace.
Favoriser une circulation élevée du virus dans les zones fortement vaccinées, car le système immunitaire ne le combat pas activement.
Diminuer la gravité des cas sévères de COVID-19, grâce à son effet tolérant.
Comparaison avec l’immunité naturelle
Une étude a comparé les anticorps produits après une infection naturelle et après la vaccination :
Après une infection naturelle, 90 % des anticorps produits sont de type IgG1 (inflammatoires), et seulement 1 % sont IgG4.
Après la vaccination, on observe une augmentation massive d’IgG4, un phénomène anormal qui ne correspond pas à la réponse immunitaire naturelle.
Ce constat soulève une question fondamentale : notre immunité naturelle n’est-elle pas mieux adaptée que la réponse induite artificiellement ?
Conclusion
L’augmentation massive des anticorps IgG4 après la vaccination à ARNm est un phénomène inhabituel qui reste largement ignoré par la communauté scientifique.
Si l’IgG4 joue normalement un rôle d’équilibrage dans le système immunitaire, son augmentation excessive pourrait avoir des conséquences inattendues, notamment en modérant trop fortement la réponse immunitaire face au virus.
Il est essentiel que davantage de recherches soient menées pour comprendre pleinement l’impact de ce phénomène.
En attendant, chacun devrait se poser des questions critiques et analyser les données disponibles plutôt que de suivre aveuglément les directives officielles.
Avertissement
: Cet article ne remplace pas un avis médical. Consultez un
professionnel de santé avant de modifier votre alimentation ou
traitement.
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