« Turbo cancers » : l'émergence inquiétante de cancers ultra-agressifs chez les jeunes

 

  (Mise à jour Témoignages 24 février 20225)

Une nouvelle pathologie résistante aux traitements conventionnels interroge la communauté médicale.

 

Ces dernières années, un phénomène inquiétant a émergé dans le domaine de l'oncologie : des cancers extrêmement agressifs, souvent appelés « turbo cancers », se développent chez des personnes jeunes et en bonne santé, sans antécédents familiaux ni prédispositions génétiques. Ces cancers, qui se propagent à une vitesse alarmante et résistent aux traitements conventionnels, défient les connaissances médicales actuelles et soulèvent des questions cruciales sur leurs causes et leur prise en charge.  


 Un phénomène nouveau et alarmant  

Le terme « turbo cancer » a été utilisé pour décrire ces tumeurs qui se comportent de manière inhabituelle. Contrairement aux cancers traditionnels, qui peuvent mettre des années à se développer, ces cancers apparaissent soudainement, progressent rapidement et deviennent souvent métastatiques en quelques mois seulement. Les médecins et les chercheurs qui ont observé ce phénomène décrivent des cas où des patients, initialement diagnostiqués avec un cancer de stade précoce, voient leur état se détériorer de manière fulgurante, malgré des traitements agressifs.  

L'une des caractéristiques les plus frappantes de ces cancers est leur résistance aux thérapies conventionnelles. La chimiothérapie, la radiothérapie et même l'immunothérapie, qui ont permis des avancées majeures dans le traitement du cancer au cours des dernières décennies, semblent impuissantes face à ces tumeurs. Les oncologues, habitués à donner des pronostics relativement précis basés sur des données cliniques solides, se retrouvent désarmés lorsque des patients censés vivre plusieurs années décèdent en quelques mois.
 

 Des cas choquants chez les jeunes  

Ce qui rend ce phénomène encore plus préoccupant, c'est son apparition chez des personnes jeunes, souvent dans la vingtaine ou la trentaine, sans facteurs de risque évidents. Des femmes de 20 ans diagnostiquées avec un cancer du sein de stade quatre, des jeunes adultes atteints de cancers du côlon agressifs, ou encore des cas rares de carcinomes chez des personnes de moins de 30 ans : ces situations, autrefois exceptionnelles, semblent se multiplier.  

Les médecins qui ont tiré la sonnette d'alarme soulignent que ces cas ne correspondent pas aux schémas traditionnels du cancer. Habituellement, les cancers chez les jeunes adultes sont liés à des mutations génétiques spécifiques, comme les mutations BRCA1 ou BRCA2 pour le cancer du sein. Mais dans ces nouveaux cas, aucune prédisposition génétique n'est détectable, ce qui laisse penser à une cause environnementale ou externe encore inconnue.
 

 Une nouvelle physiopathologie ?  

Les chercheurs qui étudient ces cancers suggèrent que nous pourrions être confrontés à une nouvelle physiopathologie. Les tumeurs semblent se comporter différemment, avec une croissance accélérée et une capacité à échapper aux défenses immunitaires de l'organisme. Les pathologistes, comme le Dr Ryan Cole aux États-Unis ou le professeur Burkhart en Allemagne, tentent de comprendre ce qui distingue ces tumeurs des cancers traditionnels.  

Une hypothèse avancée est que ces cancers pourraient être liés à une perturbation du système immunitaire. Les infections répétées au COVID-19, les vaccins, ou d'autres facteurs environnementaux pourraient avoir affaibli les défenses naturelles de l'organisme, permettant à ces tumeurs de se développer et de se propager sans rencontrer de résistance. Cependant, cette théorie reste à confirmer, et les chercheurs insistent sur la nécessité de mener des études approfondies pour comprendre les mécanismes en jeu.
 

 Le rôle des mandats et des vaccins : un sujet tabou

L'une des questions les plus controversées est de savoir si les vaccins contre le COVID-19 pourraient jouer un rôle dans l'émergence de ces cancers. Certains médecins ont noté une corrélation temporelle entre la vaccination et l'apparition de ces tumeurs agressives, mais il est important de souligner qu'une corrélation ne signifie pas nécessairement une causalité.  

Les professionnels de santé qui soulèvent cette possibilité se heurtent souvent à une forte résistance, voire à une censure. Les plateformes de médias sociaux ont supprimé des publications sur le sujet, et certains médecins ont été interdits de s'exprimer publiquement. Pourtant, face à une augmentation aussi marquée de cas inhabituels, il est essentiel de permettre une discussion ouverte et transparente, sans craindre les controverses.  


 La nécessité d'une réponse urgente  

Face à cette situation, les centres de cancérologie commencent à réagir, notamment en abaissant l'âge du dépistage pour certains cancers. Aux États-Unis et au Canada, l'âge recommandé pour le dépistage du cancer du sein a déjà été abaissé de 50 à 40 ans, et des débats sont en cours pour faire de même avec le dépistage du cancer du côlon.  

Cependant, abaisser l'âge du dépistage ne suffit pas. Il est crucial de comprendre pourquoi ces cancers apparaissent, pourquoi ils sont si agressifs, et comment nous pouvons les traiter plus efficacement. Cela nécessite des investissements massifs dans la recherche, ainsi qu'une collaboration internationale pour partager les données et les observations.
 

Synthèse des conclusions 

Les « turbo cancers » représentent un phénomène nouveau et profondément inquiétant dans le domaine de l'oncologie. Ces cancers, extrêmement agressifs, se caractérisent par une progression fulgurante et une résistance aux traitements conventionnels, conduisant souvent à des décès rapides, même chez des patients jeunes et en bonne santé. Leur émergence soulève des questions urgentes sur leurs causes sous-jacentes et les mécanismes qui les rendent si difficiles à traiter.  

Il est impératif que la communauté médicale, les chercheurs et les décideurs politiques prennent ce phénomène au sérieux. Des études approfondies doivent être menées pour comprendre la physiopathologie de ces cancers, identifier les facteurs de risque potentiels (qu'ils soient environnementaux, infectieux ou autres) et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques adaptées à ces tumeurs résistantes.  

En parallèle, une vigilance accrue est nécessaire de la part des médecins et des patients. Les symptômes inhabituels, les changements soudains dans l'état de santé ou les antécédents familiaux doivent être pris au sérieux, et les jeunes adultes doivent être encouragés à consulter rapidement en cas de doute. Dans un contexte où les défis sanitaires évoluent rapidement, la combinaison de la vigilance, de la recherche et de la collaboration internationale reste notre meilleure arme pour protéger la santé de tous et faire face à cette nouvelle menace.  

En résumé, les « turbo cancers » constituent un défi majeur pour la médecine moderne, exigeant une réponse urgente, coordonnée et fondée sur des preuves scientifiques solides.

 

 Témoignages :

Bonjour, une connaissance au village de ma mère en Espagne (taux de vaxx pas loin de 100%, donc cette personne l'était plus que probablement) la quarantaine, turbo cancer, elle a commencé à se sentir mal début janvier, elle est décédée avant hier.

Les médecins n'ont RIEN su faire pour elle. C'était un cancer au rein et ça était passé à la veine cave, donc apparemment impossible à soigner. Développement ultra rapide. Elle laisse deux enfants de 14 et 18 ans.

Même ma sœur qui me traitait de complotiste à l'époque se rend compte que c'est de plus en plus fréquent ces cas "inexpliqués", cancers rapides et morts soudaines... Du coup, comme je la sens plus ouverte, je lui ai envoyé quelques publications sur les turbo cancer que j'avais déjà vu passer, et elle "la ramène" moins qu'il y a quelques années.

      

             

Régis était au skatepark avec les enfants et une copine à Victor est venue avec sa maman. Il y a 1 mois elle a fait un AVC elle a 48. Déjà son père est décédé il y a QQ années.
Elle lui disait qu'à l'hôpital de plus en plus d'avc et jeunes et dont un de 18 ans

                              

 

                

Bonsoir
De plus en plus de monde autour de moi parle des effets secondaires des vaccins 😘🙏😌
Les gens commencent à faire le lien et sont en colère 😠 et veulent se faire indemniser .

Une personne sur un salon avait un turbo cancer doutait mais pensait que c’était due au pik pik en lui disant que j’avais la même dans ma famille m’a dit oui je pense aussi que ce sont les vax ma fille a aussi des symptômes depuis 🙏 .

Une collègue de ma fille son père cancer du médiastin fait le lien avec le vaccin. Veut prendre un avocat .

           

 

                       

 Je connais des personnes avec des turbos cancers et ils ont pris plusieurs doses de Pfizer....tous décédées sauf une qui se bat contre une leucémie depuis 2 ans.Apparemment Pfizer a mis de l uranium dans certaines fioles de vaccins....l uranium est radioactif et sa durée de vie est de 4.5 milliards d années....c est très grave.

 

               

                

 En un seul jour, un voisin qui avait des problèmes de déglutition est décédé au restaurant ce midi, il s'est étouffé,les pompiers n'ont pas pu le réanimer... Vacciné car maladie de Parkinson depuis 20 ans donc fragile 😤🙄 Et la maman des enfants de mon compagnon, mort subite dans son sommeil, 53 ans. Cause inconnue mais le médecin a noté mort naturelle...🤔 A jour de ses vaccins elle aussi cause maladie de l'intestin...etc...Un ami 4 doses, mort il y a 10 jours d'un triple turbo cancer...8 morts proches en 2 ans. Je ne crois pas au hasard. 😤

 

                                         

Le fils d’un ami n’a plus que des spermatozoides difformes et handicapés, une collègue de travail 31 ans n’a presque plus d’ovules et son mari les spermatozoides comme le 1er. Il y a une jeune femme qui a créé : Où est passé mon cycle, qui parle de tous ces problèmes.

 

 Quelques témoignages encore et toujours..


 Troisième personne qui décéde apres avoir pris un doliprane accompagné d'un verre d'alcool, cela peut paraitre stupide mais le seul point en commun les 3 sont  vaccinés les 3 , 40 ans.
 Actuellement 2 cas de cancer pancréas, phase finale,1

 cancer du nez ( il a ete enlevé) , 

thrombose , tumeurs, ... 

Et beaucoup beaucoup de client plus aucunes nouvelles , ils sont tous dans le voisinage et plus personne ne les voit. 

Jeune fille arrêt cardiaque décédée 22ans. 

Beaucoup d'asthmatique tous le sont depuis 1an , le lien est clair. 

Suicide et dépression... 

Je ne les comptes plus. Triste a dire mais j'en oublie énormément  a force de n'entendre que ça. 

(malgré leur très jeune age) . Tous regrette l'injection, aucun ne regrette de ne pas avoir cédé..

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